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jeudi 3 juillet 2008

Il me fait marrer

Je lisais le billet de Debbie sur ce qui la faisait marrer et j'ai pensé à Gary Larson, alors je me suis dit que j'allais mettre des images de ses bouquins The Far Side Gallery pour bien faire rigoler tout le monde (la prochaine fois, je mettrai des photos de ptites loutres pour vous faire craquer, j'en ai plein en stock).

Je remercie mon Poupi de m'avoir fait découvrir cet humour particulier, comme quoi on trouve toujours que nos parents ont des goûts nazes quand on est gamin et on se retrouve à quasi 28 ans à se bidonner sur les mêmes BD qu'eux, à aimer la country (véridique) et à lorgner sur le sac Vuitton de sa Moumi...
Pour acheter ses oeuvres, c'est par ici (ça, c'est le petit lien à l'attention des avocats de M. Larson qui traquent sur le Net ceux qui mettent des images de leur dessinateur préféré)

mercredi 9 avril 2008

Proud Mary


Proud Mary, c'est tout simplement une de mes chansons préférées, celle qui me met de bonne humeur.

Je me souviendrais toujours de cette traversée de l'Hudson, dans la baie de Manhattan, avec une jeune chanteuse qui s'accompagnait d'une guitare acoustique, et qui eut le don de faire chavirer de plaisir un ferry entier...Myriam, si tu me lis, tu devrais t'en souvenir !



C'est une chanson mythique, inscrite dans le patrimoine musical américain...

Une chanson interprétée par les plus grands...

Mais justement, quelle version préférez-vous ?

Vous la préférez nice and easy ? ou nice and rough ?

free music


free music


Et hop, les paroles, pour chanter à tue tête au bureau ...

PS : merci à Benjamin d'avoir chanté ce morceau d'anthologie hier soir !

Benjamin : Proud Mary

Proud Mary

Y know, every now and then
I think you might like to hear something from us
Nice and easy
But theres just one thing
You see we never ever do nothing
Nice and easy
We always do it nice and rough
So were gonna take the beginning of this song
And do it easy
Then were gonna do the finish rough
This is the way we do proud mary

And were rolling, rolling, rolling on the river
Listen to the story

I left a good job in the city
Working for the man every night and day
And I never lost one minute of sleeping
Worrying bout the way things might have been

Big wheel keep on turning
Proud mary keep on burning
And were rolling, rolling
Rolling on the river

Cleaned a lot of plates in memphis
Pumped a lot of tane down in new orleans
But I never saw the good side of the city
Till I hitched a ride on a riverboat queen

Big wheel keep on turning
Proud mary keep on burning
And were rolling, rolling
Rolling on the river

If you come down to the river
I bet you gonna find some people who live
You dont have to worry if you got no money
People on the river are happy to give

vendredi 28 mars 2008

Appartements d'amoureux à Paris

Voici un petit livre que mon beau-frère m'a ramené du Japon, où ce veinard a passé plusieurs semaines l'automne dernier pour son travail.

J'ai adoré feuilleter ce livre, avec plein de photos d'appartements d'amoureux à Paris. Evidemment, je n'y ai rien compris, car tout est en japonais.

Je pense que dans la plupart des cas, Madame a eu le dernier mot car les stickers muraux, guirlandes et autres petits babioles typiquement féminins y sont rois. Ah les fameux tabourets nains de chez Starck, que l'on retrouve aujourd'hui sur le blog de Tokyobanhbao ! Oh les branches lumineuses de cerisiers en fleur de Tsé Tsé !

Je me suis complétement retrouvée dans ce livre, qui fait écho à tout mon petit univers. Je suis ainsi heureuse de voir qu'il y a plein de gens avec le même goût que moi :-) Et j'étais ravie que mon beau-frère me l'ait offert, il a tapé pile poil dans le mille (merci Cédric !).

La maison d'édition, Paumes, propose plein de petits livres charmants comme celui ci, allez visiter le site Internet (même s'il est en japonais ), il est à croquer.

Le livre est sinon disponible à la librairie Junku, 18 rue des Pyramides dans le 1er arrondissement de Paris, et sur le site Web de cette dernière.



dimanche 23 mars 2008

Bilan des films vus cette semaine

Cette semaine, c'était vacances donc j'en ai profité pour aller 3 fois au ciné.
Allez, c'est parti pour un petit classement, en commençant par le film que j'ai préféré :

Be kind rewind (Soyez sympas, rembobinez), de Michel Gondry.

Gros coup de coeur pour cette comédie littéralement faite de bric et de broc. Dans une affreuse petite ville du New Jersey à l'ombre de la Grosse Pomme, un petit loueur de VHS tente de survivre. Malheureusement, toutes les bandes sont effacées un jour à cause du cerveau (rendu temporairement magnétique) d'un ami du loueur de cassettes : pour tenter de dissimuler cette gaffe, les deux compères se lancent dans la réalisation plus qu'artisanale de classiques, tels que Ghostbuster ou Robocop. Leurs versions, "suédées", rencontrent un vif succès et deviennent un genre, réclamées par des amateurs de plus en plus nombreux. Qui sait, peut-être parviendront-ils ainsi à sauver le petit magasin de la faillite et de la démolition ?

Un vrai moment de bonheur et de poésie, même si je n'arrive vraiment pas à me faire à la drôle de tête de Jack Black.

Pour info : note IMDB : 7,3/10

5 fingers (L'affaire Cicéron) de Joseph L. Mankiewicz

Mmm, un film datant de 1952, en noir et blanc, qui passe au Grand Action... Mmf, mouais. Telle fût ma réaction lorsque G. me proposa d'y aller. Mais pourquoi pas ?

Et bien j'ai bien aimé : contrairement au dernier film de Kurosawa où il m'avait trainée, je ne me suis pas endormie, ou bien un tout petit peu.

J'ai trouvé ce film intelligent, captivant (à part les scènes où je me suis endormie, héhé), avec des dialogues fins, ciselés et ne manquant pas de mordant.

Il relate une histoire vraie, celle d'un espion anglais au service de l'Allemagne, qui divulgua aux nazis tous les plans des Alliés à la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

Cela m'a donné envie de revoir mes classiques, que je regardais quand j'étais plus petite avec mes parents pourtant...puis l'âge de l'autonomie arriva, et des choix culturels plus ou moins heureux !

Pour info : note IMDB : 7,8/10

Bienvenue chez les Ch'tis, de Dany Boon

Comme Amelimelo, je n'ai pas trop accroché. Alors, certes, c'est amusant, les clins d'oeil aux gens du Nord sont nombreux et sympathiques (et Dieu sait que j'y suis sensible, du fait de ma belgitude) mais bon... c'est bien gentil tout ça, et un peu creux.

J'avoue que j'ai été un peu déçue : je compare ce film à La Doublure de Francis Veber, qui avait aussi été un grand succès malgré une platitude certaine.

Mais bon, à voir, ne fut ce qu'en raison du véritable raz de marée que ce film a engendré dans les salles de cinéma.

dimanche 3 février 2008

Sheila Levine est morte et vit à New York


Un livre très amusant que j'ai dévoré en quelques heures à peine, un samedi matin affalée sur le canapé.


Sheila est juive, habite à New York, a 30 ans et est toujours célibataire. Il y a donc un truc qui cloche et pour y remédier, elle décide de se suicider.


Attention : ce livre est à mourir... de rire! un vrai petit bijou d'humour, que je recommande vivement!


Et cela ne gâche rien au plaisir que ce livre date des années 70 : le ton y est vrai, sans faux semblant et ça fait du bien !


Ce qu'en dit Amazon : " Vu l'explosion démographique, vous en connaissez un, vous, de moyen plus écolo que de s'éliminer soi-même ? " Née dans une famille juive dont le mot d'ordre est : " Trouve un mari à la fac, après ce sera plus dur ", Sheila Levine, toujours célibataire à 30 ans, décide que la plaisanterie a assez duré et se lance dans l'organisation de son suicide. Après avoir cherché un époux, un appartement, du plaisir, de la minceur, des fringues branchées et un job, mis toutes les chances de son côté en allant voir un psy et en faisant preuve d'un libéralisme sexuel à toute épreuve, la voilà qui se met en quête d'une concession, d'une pierre tombale, d'un rabbin et de la robe ad hoc. Version féminine du Complexe de Portnoy paru trois ans auparavant, Sheila Levine est morte et vit à New York relate avec une incroyable liberté de ton et de langage, les déboires d'une jeune femme naïve et protestataire dans l'Amérique des années 70.